Collage peint sur papier.
La jeune dame n'est vêtue d'aucun vêtement : Blanche rosée et orangée mi-fluide mi-statuaire évoquant un déesse des mers nordique.
Une féerique rameuse orné de colliers et de fleurs d'or stylisées semble osciller, en godillant sur une rivière au cœur d'une canopé aux teintes bleues et vertes.
Elle est en appui sur une embarcation mythologique, auréolant à ses pieds, décoré d'un dragon et semée de motifs dorés greffée de femmes figées, en impression inversé et faisant partie du navire telle les compagnons d'Ulysse fassent aux Sirènes.
La silhouette de cette beauté lui donner la stature d’une reine et la magie d’une icône parcourant l'horizon :
" Traduisant "Un Pas d'elle" sur paddle, "godillant" vers un dieu brillant : Le Valhöll l'endroit où les valeureux guerriers défunts sont amenés."
collage ou Fresque d’une villa, un homme présenté aux Arts libéraux*.
Sur une scène, elles sont quatre posant dans l'éclairage. L’une d’entre elles domine, telle une mère supérieure qui trône les bras en croix. Serait-ce Vénus rendant la justice depuis sa chaire ?
Je pencherais plutôt vers une cheffe de coeur en chorégraphie et en plein air, dans un Théâtre indépendant. Les trois autre nous enseignent Chasteté, Beauté, et Amour ; ici figée quelques trois minutes pendant que je les croque au pinceau. Assis deux spectateurs sont adossés à une villa en ruine ; l'homme présenté et sa muse (issus d'une feuille du journal ).
(Collage et croquis sur le vif).
*Dans les temps antiques les arts liber sont un jeux pédagogiques, parfois collés sur les murs des villas en support fresco-éducatif. seuls les hommes accident à ces matières intellectuelles.
Les femmes, elles, reçoivent des mains de Vénus les vertus de l’épouse parfaite : Chasteté, Beauté, Amour.
... Laure dormeuse sur un nuage dor.
Voici la petite Odalisque nue,
Allongée sur un méridien d'or
Entouré d'un ciel turc-quoise
De ses mille-et-une-nuits.
L’aguicheuse modèle ingresque
Ne daignant se retourner
Est lasse de son post rieur
A la moue des heures molles,
Elle nous défient de ses fesses dons,
Celle de droite a deux rondeurs
Celle de gauche écarlate attendent
Un écart festif attendu et frondeur.
Son lit est froissé d’or, mais d'or t-elle ?
Ses draps de satin s’entassent, et sans tai,
L'oreille n'y est, elle pense aux heurs liés.
Sa tête n'y est plus, elle sans appui est
Sur l abysse profond d'heures écoulées,
Se chiffonnent et se déshabillent ses rêves :
Sa jambe se détachera telle de ce corp d'Eve,
Lointains nuages et l'aube d'un avenir obstrué.
Suite dépeint des maux d'elle vivants.




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